vendredi 1 mars 2013

Qui s'y frotte s'y pique (225)

Liverdun dans la confiturerie Lerebourg encore en activité.

On lira avec intérêt comment ces sacs de sucre arrivaient là dans le blog de Liverdun : Liverdun : les années sucrées (I à V). Merci à Jean-Claude Curé pour l'autorisation de publier la photo.


2 commentaires:

  1. Bonsoir,
    une belle idée de raconter quelque chose sur une usine de confiture. Je me souviens très bien des usines de sucres. Pendant mon apprentissage en automne je devais passer des autoroutes près d'une usine de sucre. Il y avaiant des masses des tracteurs avec des betteraves à sucres. C'etait dangereux parce que les tracteurs étaient mal illuminé. J'étais heureux quand l'automne était passé et les tracteurs étaient disparu.

    Amicalement Dieter

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  2. Avec le betteraviers, il y a pire : l'odeur et les chaussées glissantes!

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