vendredi 3 juillet 2015

Jeanne, toujours…

Deux autres statues à Vaucouleurs… que serait la cité sans elle !
La première, sur la façade du presbytère, rue de la République (humour Valcolorois !) du même modèle que celle sur le rond point à l'entrée de la ville en venant de Blénod.


La seconde dans la rue… (devinez son nom !) qui va vers Neufchâteau, en passant par Domrémy. "En cage" dans la cour d'une maison bien jolie mais qui aurait besoin d'être rafraîchie, tout comme l’étendard de la Pucelle !





6 commentaires:

  1. Bonjour,
    Trois Jehanne's !!!
    Que je connais certes, mais c'est tout de même du bonheur...

    Les jumelles, celle du presbytère, et celle du rond-point sont dues à :
    Alexandre-Mathurin PECHE - Sculpteur, céramiste, peintre - Paris, 23 septembre 1872 - Colombes (92), 1957.
    Il a réalisé deux statues différentes de Jehanne d'Arc : Une guerrière levant haut l'étendard, et l'autre, en prière à genoux.

    Quant à la seconde représentation, malheureusement, en aussi mauvais que l'édifice devant lequel elle est érigée, serait le tout premier modèle diffusé par la Maison Martin Pierson de Vaucouleurs :
    Martin PIERSON - Uruffe (55) 21 juin 1836 - Vaucouleurs (55) 29 octobre 1900.
    Ronde-bosse en pierre calcaire taillée, moulurée, galbée, d'une hauteur de 180 cm.

    Inaugurée en 1868 en même temps que l'ex pensionnat Jeanne d'Arc - 21 av de Domremy :
    Primitivement, c'était le "Palais de justice" de Vaucouleurs, élevé dans le dernier quart du 18e siècle.

    En 1868, les religieuses de la Compassion St Hilaire en Woëvre y fondèrent un pensionnat pour jeunes filles, tenu par elles, sous le patronage de Jeanne d'Arc.
    Devenu l'un des plus florissants de la contrée, il a cessé d'exister en 1900.

    Merci pour vos billets toujours aussi passionnants, je ne m'en lasse pas
    Chantal

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    1. Merci. Pour celle de la rue Jeanne d'Arc, j'avais su, et oublié ! Comme quoi, dans les visites guidées, on devrait prendre des notes ! J'espère qu'Anthony me pardonnera. On s'était longuement arrêtés devant cette maison.

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  2. On se demande comment les habitants de cette maison font pour fermer leurs volets ?

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  3. je confirme, Mam Léa... cette pièce du presbytère n'est dans l'obscurité que la nuit ;-)

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    1. Effectivement, j'imagine mal le curé démonter la statue chaque soir et la réinstaller le matin !

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Dis-moi voir ?